À PROPOS
Alexia Celoro
Biographie
Issue d’une famille d’Artistes, Alexia Celoro étudie dès son plus jeune âge la Musique et les Arts Plastiques et obtient son diplôme des Beaux-Arts de Bruxelles.
L’Artiste Peintre intègre "Les Ateliers Mommen" de Bruxelles et vit plusieurs années entourée de trente-six autres Artistes multidisciplinaires professionnels. Alexia Celoro commence ainsi assez rapidement à exposer et son travail pictural est remarqué par des Collectionneurs en Belgique, en France, en Allemagne, en Italie et en Hollande.
D’origine italienne et espagnole, Alexia continue son exploration culturelle au gré de ses nombreux voyages en Europe pendant lesquels elle étudie dans des ateliers d’Artistes les sujets qui la passionnent comme l’anatomie, les portraits, les couleurs, l’abstraction ou encore les textures.
La singularité picturale d’Alexia Celoro est soulignée de par ses techniques ressortant toute la transparence de la peinture à l’huile.
Ses œuvres font d’ores et déjà parties de nombreuses collections privées sur les quatre continents.
Alexia Celoro
Démarche artistique
Je travaille mes oeuvres à la peinture à l’huile, car elle me rappelle au quotidien l’importance d’être patiente. Et je les crée en plusieurs étapes, car elles suivent une histoire à vivre et à conter, à ressentir, où tout a un sens sacré. Quand je peins, mon intention est d’unir ma perception du divin, de l’univers dans lequel nous évoluons, à notre humanité. Invitant le public a se rappeler que tout est sacré, que tout possède cette magie des possibles, que notre vie entière mérite de suivre un chemin d’élévation dans tout ce que l’on fait, dans tout ce que l’on est. A l’image de notre planète évoluant en spirales continuellement, nous suivons des schémas, nous recevons des codes, il est à nous de les apprendre, et dans mes séries, je me propose de les exprimer visuellement.
La première étape en général c’est le support, le fond, le contexte d’une histoire, l’arrière plan, sa texture, ses multiples couches, ses transparences. Je les travaille en m’inspirant des murs qui ont une âme. Du street art, ce qui me fascine le plus ne sont pas les oeuvres des artistes, mais les textures et la vie du mur qui les porte. Et dans tous les pays traversés depuis mon enfance, cela m’a toujours fasciné.
Lorsque je touchais un mur quand j’étais enfant, j’en recevais parfois son histoire en images. Les couches de transparences qui forment le support de mes oeuvres révèlent toutes ces vies, au-delà du temps. Ces couches peuvent contenir des messages codés, comme le sont par exemple les architectures sacrées de certaines grandes villes. Les temples ou autres autres constructions suivant des patrons divins, ou inspirés de source de vie, me parle ainsi grandement, et donne vie à l’étape suivante.
La seconde étape est celle du sujet, du message. Je cherche le modèle, et je questionne longuement l’importance de sa présence dans la série, sa signification, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus aucun doute, et que le fait de le délivrer s’impose à moi comme une mission.
